« Scènes de la vie privée et publique des animaux » est un recueil d'articles, de nouvelles, et de contes satiriques paru d’abord en livraison puis en livre illustré en deux volumes entre 1841 et 1842 avec le sous-titre « Études de mœurs contemporaines ».
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S’inspirant de l’ouvrage « Les Français peints par eux-mêmes », Grandville caricature le principe du panorama social en substituant aux portraits d’humains des représentations d’animaux. Grâce à la précision et au réalisme de ses traits, il établit ainsi parallèle entre l’homme et le règne animal.
A l’instar de « La Comédie Humaine », ces deux volumes se veulent un portrait critique de la société de l’époque.
« Scènes de la vie privée et publique des animaux » connaît un tel succès public, qu’il devient un des livres illustrés les plus célèbres du XIXe siècle.
Martine
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